Quatre victoires et un match à jouer, le pays de Galles peut désormais viser un nouveau Grand Chelem.
Le XV du Poireau a continué sur lancée dans le Tournoi des Six Nations avec sept essais à la clé lors d’un succès 48-7 à Rome contre l’Italie.
Avec des victoires contre l’Irlande, l’Ecosse, l’Angleterre et maintenant, l’Italie, les hommes de Wayne Pivac se retrouvent en tête du classement avant la dernière journée.
Mais si les Gallois sont les seuls qui peuvent rêver de Grand Chelem, l’équipe de France est également encore dans la course.
Voici les scénarios et ce qu’il reste à faire pour les Gallois.
PAYS DE GALLES
L’équation est simple pour le pays de Galles.
En cas de victoire au Stade de France, les hommes de Wayne Pivac remporteraient le Tournoi avec un deuxième Grand Chelem en trois ans à la clé.
Un match nul suffirait également pour remporter le Tournoi parce qu’avec 21 points au classement, plus personne ne pourrait les rejoindre.
Même une défaite ne mettrait pas fin à leurs ambitions de titre, mais la marge pourrait être importante.
FRANCE
Les Bleus peuvent toujours espérer dépasser les Gallois, même si la défaite en Angleterre rend la tâche un peu plus compliquée.
Les hommes de Fabien Galthié ont un retard de neuf points sur les Gallois avant de les recevoir au Stade de France, mais comptent un match en moins que leurs futurs adversaires.
Watson ravi de la victoire et Meilleur Joueur du Match
Alors il faudra obligatoirement gagner le week-end prochain, soit avec le bonus, ou en privant les Gallois du bonus défensif. Si possible, les deux.
Ensuite il faudrait battre les Ecossais, peut-être avec le bonus, pour remporter le titre.
Deux victoires bonifiées, sans laisser de bonus au Gallois, et les Bleus seront champions. S’ils empochaient neuf points de leurs deux derniers matchs, où si les Gallois perdaient avec le bonus à Paris en cas de deux victoires bonifiées, le titre se jouerait à la différence de points.
Avant la cinquième journée, le pays de Galles a un avantage de 24 points à la différence des points par rapport aux Bleus.